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Light Zoom Lumière met en avant l'inauguration du nouveau bâtiment Lumen de Cardinal sur les berges du Rhône à Lyon - Confluence. Sans oublier de mettre en avant, notre société WAS LIGHT comme entreprise innovante proposant la signalétique lumineuse du bâtiment Lumen.

Nous vous invitons à découvrir l'article de Light ZOOM Lumière (publié le 20 octobre 2022) dans son intégralité ici

Lyon Confluence : inauguration du bâtiment Lumen de Cardinal

• Laboratoire de recherche et expérimentation de l’ENTPE au R+1
  • Light color lab, espace recherche et expérimentation
  • Living lab, hall d’essai en éclairage
  • Lumenarium, salle de vidéo-projection haute luminance
• Espaces de formation et d’initiation du Campus Lumière au R+1
  • Lab Lumière, salle de formation à l’éclairage
  • Parcours lumière, espace de découverte de l’éclairage
•  Showroom d’entreprises Innovation Trail du Cluster Lumière au R+2
  • Premiers exposants de la plateforme d’exposition des lumières innovantes
  • Exposants pour l’inauguration du bâtiment
• Bureaux en location de Cardinal Workside du R+3 au R+6
  • Sociétés qui ont élu domicile à Lumen aux étages
• Salles de réunion et lieux de rencontres aux R+7 et R+8
  • Espace de réception et bar de Lumen
• Autour du bâtiment Lumen
  • Vues sur les architectures de Lyon à 360° depuis la terrasse de Lumen
  • Lumen, le saviez-vous ?

Lumen, la Cité de la Lumière : lancement du projet

Janvier 2017 : le Cluster Lumière et son président, François Corteel, lancent le projet Lumen, la Cité de la Lumière. Son but : rassembler les acteurs de l’éclairage sur un lieu unique pour accélérer l’innovation et renforcer la compétitivité.

À l’issue d’un appel à projets en 2016, le jury a choisi de confier l’opération au promoteur immobilier groupe Cardinal.

Cluster Lumière, porteur du projet du bâtiment Lumen

Février 2018 : lauréat du concours d’architecture, un binôme expérimenté architecte – concepteur lumière a été choisi par le groupe Cardinal :

• a+ Samuel Delmas, architecte implanté à Paris et Lyon,
• Wonderfulight Anne Bureau, conceptrice lumière basée à Bordeaux.

Avec deux ans de retard sur le planning initial, covid oblige, le nouveau bâtiment est inauguré aujourd’hui.

Lumen primé d’or en design d’identité visuelle

April 2018 : le logo et le site Web de Lumen reçoivent l’or au Grand Prix Stratégies design.

L’identité visuelle de la marque Lumen est l’œuvre du groupe Zebra pour le Cluster Lumière.

Un jeu d’ombres et de lumière qui a du sens

Concept architectural innovant de a+ Samuel Delmas pour Lumen

Juin 2018 : de grands plateaux aux étages créent une atmosphère élégante et chaleureuse.
Sur neuf étages, le bâtiment créé par l’agence a+ Samuel Delmas regroupe 6 500 m² d’espaces de :

• bureaux,
• coworking,
• laboratoires d’essai et d’expérimentation,
• espace d’exposition,
• work café.

Il est ouvert aux entreprises, start-up, étudiants, salariés nomades, créateurs, indépendants. C’est un lieu vivant, animé par le Cluster Lumière et tourné vers ses usagers.

Pose de la 1^re pierre de Lumen à Lyon Confluence

Mai 2019 : le groupe Cardinal et le Cluster Lumière posent la 1^re pierre de Lumen.

Un événement programmé le 16 mai, à l’occasion de la Journée internationale de la Lumière.

Cette journée spéciale autour de l’éclairage sous toutes ses formes a été inventée en 2015 par Zorica Matic, Les Idées Lumières.

C’était pour le colloque Lumière dans la Cité, vecteur de cohésion sociale.

ENTPE présente la Color Room et la salle de projection haute luminance

Novembre 2019 : l’ENTPE présente en exclusivité dans ses murs de Vaulx-en-Velin, deux outils innovants de Lumen : la Color Room et la salle de projection haute luminance.

À ses équipements de classe internationale s’ajoutent :

• un outil de caractérisation et de simulation des matériaux vis-à-vis de la lumière, notamment la mesure de l’aspect,
• un hall d’essai de 70 m²,
• un équipement de réalité virtuelle partagée,
• un ensemble d’appareils de mesure scientifique transportables.

À l’occasion de cette inauguration, le laboratoire de l’École de l’aménagement durable des territoires s’installe au premier étage du bâtiment Lumen.

Fondations du gros œuvre à Lyon Confluence

Décembre 2019 : la dalle de fond du gros œuvre en béton armé est coulée. Sur le quai Perrache, les ouvriers s’activent pour réaliser les fondations du bâtiment Lumen à Lyon Confluence.

« Lumen a pu se concrétiser grâce au soutien et à l’engagement financier de la La Région des Lumières, Région Auvergne-Rhône-Alpes, de la Métropole de Lyon et de la Ville de Lyon, qui accompagnent la dynamique du projet depuis son démarrage, et aussi grâce à la mobilisation des entreprises membres du Cluster lumière, qui y apportent leurs compétences et savoir-faire. »

Philippe Badaroux, président du Cluster Lumière

 

Construction du nouveau bâtiment Lumen à Lyon

Décembre 2021 : le chantier du nouveau bâtiment Lumen de a+ Samuel Delmas avance bien.

Sur 52 mètres de long et 16 de large, la construction est autoportée et prend forme. Elle combine harmonieusement béton, bois et métal.

Vue à 360° depuis la terrasse du bâtiment Lumen de Lyon

Janvier 2021 : quels lieux clés sont visibles depuis la terrasse du bâtiment ?

C’est un florilège d’architectures contemporaines et de lumières naturelles révélant Lyon.

« Au-delà de ces espaces dédiés, Lumen, la Cité de la Lumière, se veut un lieu de rencontres et d’échanges, de fertilisation croisée, d’inspiration, d’attractivité et de rayonnement national et international, accompagnant et stimulant des réflexions fécondes sur les lumières du monde de demain, dans des usages à la fois raisonnables et créateurs de valeur. »

Philippe Badaroux, président du Cluster Lumière

Mise en lumière dynamique de Anne Bureau, Wonderfulight

Décembre 2021 : pour la Fête des Lumières de Lyon, la mise en lumière dynamique de Lumen est révélée.

Un savant mélange d’éclairage rasant, de haut en bas, sur le vitrage sérigraphié en tête du bâtiment et d’éclairage indirect sur les plafonds en bois aux étages.

Anne Bureau, conceptrice lumière, Wonderfulight explique : « il y a trois scénarii qui ont été définis.

• Le programme quotidien dit « wonderfulight » : c’est celui qui fonctionne en semaine.
• Le programme dit « festif » : c’est celui que tu as du voir pendant la Fête des Lumières 2021. Il y a plus de mouvements et on a des effets colorés dans le orangé/rouge).
• Le programme dédié aux évènements « corporate » de Cardinal Workside qui loue les bureaux de co-working : en blanc et jaune. »

Livraison du bâtiment Lumen à Lyon par le Groupe Cardinal

Février 2022 : Lumen est enfin livré. La maîtrise d’ouvrage Cardinal Investissement a revendu le bâtiment à Groupama, précisait Le Moniteur en mars 2022.

Sociétés qui ont élu domicile à Lumen aux étages

Juin 2022 : au 60 quai Perrache, dans le 2e arrondissement de Lyon, ont actuellement élu domicile à Lumen de Lyon :

• 2mO ingénierie, bureau d’études des lots techniques : fluides, thermique, économie de la construction, environnement.
• ewo, un fabricant Italien de luminaires LED en éclairage extérieur pour les espaces publics.
• itsOn: un cabinet de conseil en ingénierie spécialisé en pilotage et réalisation de projets industriels.
• Octec, une entreprise est spécialiste du traitement de l’image et des systèmes haute luminance.
• Potager City, un distributeur de paniers de fruits et légumes en direct des producteurs dans l’espace Cardinal Workside.
• Red Horticulture, spécialistes de la photobiologie au service d’une agriculture durable. Quand la lumière facilite la culture horticole et maraîchère.
• Rubrash, une agence de développement digital des entreprises : site Web et mobile, hébergement et l’infogérance, low-code et no-code.

Si vous résidez à Lumen, contactez-nous avec vos coordonnées Web. Après vérification, nous vous ajouterons à ces listes des entreprises résidentes.

« Lumen aborde les grands enjeux actuels tels que les transitions énergétique et écologique, la formation, l’emploi ou la souveraineté industrielle. Tout cela dans une quête du sens nécessaire pour envisager le monde de demain. »

Philippe Badaroux, président du Cluster Lumière

Light color lab, espace recherche et expérimentation

Deux salles jumelles de 3 m x 3 m sont équipées de sources LED 45 canaux. Elles permettent d’explorer et de proposer des spectres de lumières adaptés aux besoins :

• couleur de matériaux,
• mobilier d’intérieur,
• muséographie…

et d’étudier les liens entre lumière et santé avec les experts de l’ENTPE.

Living lab, hall d’essai en éclairage

Le Living lab de l’ENTPE est un hall d’essai de 72 m² équipé d’un grill motorisé. Son but est de conduire des essais et des démonstration collective de luminaires. Il permet des tests sur des maquettes d’aménagement à l’échelle 1 et de mener une exploration collective en réalité virtuelle.

Lumenarium, salle de vidéo-projection haute luminance

À la fois atelier laboratoire et studio, lieu expérimental et de création, Lumenarium est une salle de vidéo-projection haute luminance. Ainsi, la clarté de l’écran peut atteindre jusqu’à 130 000 cd/m² et donner l’impression de la luminosité d’une fenêtre. Son exploitation a été concédé à l’ENTPE dans le cadre du Technopôle Lumière. Cet espace a été conçue par Pierre Kopff, directeur de la société franco-japonaise Octec.

Lab Lumière, salle de formation à la lumière et l’éclairage

Dans le parcours du Campus Lumière, Lab Lumière est une salle de formation à la lumière et l’éclairage. Elle présente trois environnements tertiaires.

• Bureau / réunion
• Commerce / exposition
• Accueil / détente

Elle possède aussi un large éventail de technologies d’éclairage et de gestion intelligente. Une mise en situation réelle idéale pour :

• tester,
• expérimenter,
• mesurer
• comparer
• paramétrer
• modéliser
• analyser,

le rendu et la performance énergétique de la lumière.

Parcours lumière, espace de découverte de l’éclairage

Jouxtant le Lab Lumière, un espace ouvert de 120 m2 s’articule autour de quatre pôles interactifs et immersifs.

Comprendre la lumière : deux démonstrateurs interactifs vise à ressentir, comparer et comprendre la lumière et l’éclairage.

Panorama des usages : une video 180° immersive pour découvrir tous les usages de la lumière, les enjeux et perspectives.

Solutions innovantes : présentation des nouvelles applications de la lumière.

Métiers et formations : découverte des métiers à partir de films présentant les professionnels de l’éclairage en action.

Innovation Trail, plateforme d’exposition des lumières innovantes

L’Innovation Trail est composée d’une vingtaine de boxes ouverts de 12 m2 chacun. Ils permettent aux acteurs de l’éclairage et de la lumière de monter leurs innovations, de recevoir des prospects et mettre en avant leurs marques. Les premiers professionnels à avoir répondu présent sont :

• Erco, fabricant de luminaires architecturaux en Allemagne.
• Rexel, distributeur professionnel de produits et services pour le monde de l’énergie.

Innovation Trail, exposants pour l’inauguration du bâtiment Lumen

A l’occasion de cette journée inaugurale, l’Innovation Trail de Lumen montre la diversité des activités du Cluster Lumière. De nombreuses entreprises avaient pris un box. Vive le dynamisme du réseau de l’éclairage !

Aztech informatique Charvet Digital Media ewo Erco Greentech Innovation Ingélux Lacroix City Lébénoïd

LumenRadio Nekko Novatech Piséo Red Horticulture Resilec Resistex Rexel

Roger Pradier Selux Sgame Signify VisualSence Was Light Wood Light

L’animation éclairage de Lumen est le fruit d’une équipe d’animation dédiée du Cluster Lumière qui a fêté ses 10 ans en 2018. Au programme :

• conférences,
• think tanks,
• webinaires,
• expositions,
• petits déjeunes,
• ateliers d’échanges techniques,
• visités de sites industriels et de recherche,
• soirées réseau « Light Afterwork ».

Lumen, le saviez-vous ?

Lumen est l’ordre de grandeur du flux lumineux en éclairage. Il est défini comme étant « la quantité totale de lumière émise par la source en une seconde » explique Maxime Van Der Ham. En savoir plus sur la définition technique et scientifique du flux lumineux en Lumen.

Approfondir le sujet

• 10 ans de projets fédérateurs du Cluster Lumière
• Pose de la 1ère pierre de Lumen – La Cité de la Lumière à Lyon
• Light Afterwork : soirée réseau SLV/Novalux Cluster Lumière

Vous pouvez lire l'article du Mag Industries Créatives dédié aux nouvelles innovations en communication lumineuse et notamment les avantages et les performances de la technologie électroluminescente WAS LIGHT.

Extrait :

Baptiste Bosser, cofondateur de WAS LIGHT, société lyonnaise spécialisée dans la fabrication de film électroluminescent, propose depuis 2014 une solution innovante de signalétique et de communication sous forme d’adhésifs lumineux. Un produit 100 % français, fabriqué à Lyon. Une révolution sur le marché de la communication visuelle. « Nous fabriquons du film électroluminescent ou plus simplement de l’adhésif lumineux. Notre technologie repose sur le principe de photoluminescence. À partir d’une base de phosphore stimulée par une impulsion électrique de 12 volts, nous maîtrisons l’intensité et la durée de restitution lumineuse. Nous avons aussi développé un film rétro-réfléchissant lumineux qui permet de décupler la visibilité pour certaines applications sécuritaires », explique le dirigeant.

Pour en savoir plus, la suite de l'article ici et ci-dessous, l'intégralité

Grâce à l’émergence de nouvelles technologies, la communication lumineuse est désormais un élément de personnalisation et de différenciation pour les marques. En seulement deux décennies, la lumière s’est infiltrée naturellement pour devenir un véritable levier dans l’univers de la communication et du marketing. Traditionnelles, écologiques, vintages ou alternatives, tour d’horizon des solutions qui changent le paysage de ce marché concurrentiel et ultra réglementé.

Au début des années 2000, Total et Renault se lancent dans le renouvellement de leurs enseignes à travers le monde, en utilisant la technologie LED. « Ces gros marchés nationaux ont amorcé la démocratisation de la diode électroluminescente et ont converti dans la foulée le marché de l’enseigne lumineuse à cette technologie révolutionnaire pour sa sobriété énergétique, explique Christophe Guely, Pdg de Yaki, concepteur et fabricant de produits LEDs pour les enseignes lumineuses. À ses débuts la LED se cantonne à des applications automobiles, puis se développe en moins de deux décennies, pour répondre aujourd’hui à un vaste champ d’applications. Les LEDs ont gagné en puissance, en efficience et se sont miniaturisées. Aujourd’hui, chaque marque veut être plus visible que son voisin. Aussi, la communication lumineuse devient de plus en plus concurrentielle, sachant qu’en moyenne, une identité visuelle dure cinq ans. Tout va donc très vite, il faut être réactif ».

« Nous travaillons aujourd’hui la lumière non plus pour éclairer une marque, mais pour donner du relief à un élément du logo, pour identifier une zone clé ou valoriser un produit. On ne parle plus d’éclairage, mais de mise en lumière », Amélie Guerbadot, responsable communication et marketing du groupe Semios

Un constat partagé par Amélie Guerbadot, responsable communication et marketing du groupe Semios, spécialiste de l’enseigne et de la signalétique. « Depuis l’apparition du digital, le design des identités graphiques a évolué : un logo est construit pour être sublimé à travers l’animation. Nos missions ont évolué en parallèle. Nous travaillons aujourd’hui la lumière non plus pour éclairer une marque, mais pour donner du relief à un élément du logo, pour identifier une zone clé ou valoriser un produit. On ne parle plus d’éclairage, mais de mise en lumière ». Régnant désormais en maître sur le monde de l’éclairage, la LED entend bien poursuivre sa conquête du marché de la communication visuelle.

1/ LES TENDANCES

Les solutions Display

Ultima Displays, spécialiste de la communication grand format, conçoit des solutions d’affichage portables, pliables et modulaires à destination des professionnels de l’exposition et de la PLV. Directrice produit de l’entreprise basée à Carquefou, Marie Amouroux, constate : « La lumière en tant qu’outil marketing s’est démocratisée lorsque la technologie LED a intégré ce secteur, mais nous avons pu observer un réel changement des pratiques à partir de 2013 ». Ainsi, la société, qui célèbre cette année ses dix ans de présence sur le marché français, se lance dans les solutions lumineuses début 2017. Plutôt que de développer des solutions digitales, plus onéreuses et chronophages en termes de mise à jour, Ultima préfère miser sur l’affichage dynamique. L’entreprise proposera ainsi, dès cet hiver, une exclusivité destinée aux marchés du retail et du salon. Cette solution rétro-lumineuse dynamique, intégrée dans un cadre aluminium, pourra diffuser une animation programmée via une clé USB sur une image fixe imprimée sur textile. Une nouvelle solution qui devrait rapidement trouver sa place sur un marché français toujours en quête d’innovation.

De son côté Duo Display, qui conçoit et fabrique des solutions visuelles et des stands d’exposition modulaires et portables, distribue ses produits dans 35 pays dans le monde, à travers un réseau de revendeurs spécialisés. La filiale française, basée près de Montpellier, a acquis une expertise en impression textile grand format et saisit l’opportunité de se faire une place de choix dans le secteur de la communication lumineuse dès 2013, en lançant son fameux « Panoramic Lightbox », un caisson lumineux nouvelle génération qui s’assure un rapide succès dans le domaine de l’événementiel. Nicolas Crestin, directeur marketing et développement, admet que ce produit est aujourd’hui mature. « Fiable, facile à poser et peu couteux, ce caisson lumineux impactant consomme peu, grâce aux LEDs. Autant de critères qui rendent cet élément décoratif attractif pour les marques ». Pourtant, si l’entreprise propose déjà des animations ponctuelles sur des caissons LEDs, l’avenir, pour Duo Display, se joue du côté de l’animation. « Nous travaillons actuellement sur des solutions d’affichage dynamique, avec la possibilité d’intégrer de la vidéo ».

La miniaturisation

Kevin Sarels, a œuvré pendant cinq ans pour mettre au point sa technologie, avant de créer la société Kalisign en 2011. Son innovation ? Le « Slimtek », un bloc de PMMA (acrylique), usiné pour permettre l’insertion de LEDs soudées entre elles et recouvertes de résine. Un travail méticuleux, fait main. Le résultat ? Une enseigne parfaitement étanche à l’eau et à l’air, atout essentiel pour une pose en extérieur, comme en intérieur, pour éviter les zones d’ombres et offrir un éclairage homogène. « Les marques souhaitent, de plus en plus, que leur identité visuelle soit déclinée sur tous les supports, du flyer à l’enseigne. Pour répondre à la demande croissante d’un marché qui se dirige vers toujours plus de miniaturisation, cette technologie propose un éclairage homogène de très petits lettrages, jusqu’à 3 mm de hauteur », explique Anne Massy, directrice marketing de l’entreprise lilloise. Christophe Guely, Pdg de Yaki, poursuit : « La tendance à la miniaturisation nous a contraint à étudier les meilleures solutions optiques, capables d’offrir une répartition optimale de la luminosité, car les clients recherchent avant tout de l’homogénéité ».

« Les marques souhaitent, de plus en plus, que leur identité visuelle soit déclinée sur tous les supports, du flyer à l’enseigne », Anne Massy, directrice marketing de Kalisign

Vintage, le retour du néon

La technologie évolue, les modes changent. Mais certaines tendances ressurgissent. C’est le cas du néon, qui s’offre un retour en force dans l’univers de la communication visuelle. Pour satisfaire cette demande, Kalisign a créé le « Neon Effect ». Cette nouvelle génération de néon à LEDs, sans mercure, revisite l’aspect bombé du néon grâce au PMMA. Couleurs acidulées, brillant, mat ou poli : le produit se décline à l’envie, pour s’adapter à toutes les esthétiques. Peu énergivore, fiable et sûre, grâce aux LEDs, cette innovation permet de répondre à la nouvelle réglementation, qui interdit l’usage du néon au mercure en intérieur.

L’affichage dynamique

« La LED permet aujourd’hui d’animer un visuel fixe sur une toile imprimée, précise Christophe Guely. L’affichage dynamique que propose la “Bakbox Dynamix” représente ainsi une solution intermédiaire entre l’écran vidéo et l’enseigne fixe. Moins onéreuse qu’un écran, il faut en revanche rivaliser de créativité pour réussir à animer une image fixe avec un simple jeu de lumière. Un succès toutefois pondéré par l’enseigniste : « Pour être impactant, ce produit dédié à une application événementielle devrait renouveler son visuel quatre fois par an. Un vrai marché de niche pour créatifs, mais encore trop peu exploité ».

2/ L’ÉTHIQUE A LA COTE  

Les outils de contrôle

« Les normes françaises sont strictes, contrairement aux Etats-Unis, où ils peuvent oser presque tout. Ici, nous ne pourrions pas refaire Las Vegas, lance, amusé, Christophe Guely, Pdg de Yaki. Les limites imposées par la réglementation française ont obligé les acteurs de la filière à redoubler de créativité, contraints notamment par la TLPE⁽¹⁾ qui incite les commerçants à réduire la taille de leur enseigne. Nous faisons donc plus petit, plus soigné, plus percutant. On développe ainsi d’autres manières d’offrir de la visibilité aux marques ». Face à ce cadre légal normatif, Yaki a développé différents outils pour aider l’utilisateur à gérer son enseigne de manière raisonnée. La société a ainsi développé « Etool », un logiciel qui permet de mesurer le calepinage de son enseigne, qui correspond au nombre de modules LED intégrés par lettre, caisson ou dispositif lumineux. Cette donnée lui permet d’obtenir le nombre de modules nécessaires pour son dispositif, mais lui fournit également la luminance⁽²⁾, sa future consommation, ainsi que le montant de sa TLPE.

« Les limites imposées par la réglementation française ont obligé les acteurs de la filière à redoubler de créativité. Nous faisons donc plus petit, plus soigné, plus percutant. On développe ainsi d’autres manières d’offrir de la visibilité aux marques », Christophe Guely, Pdg de Yaki.

Souhaitant fournir à leurs clients les meilleures garanties, tout en favorisant une utilisation raisonnée de leurs dispositifs lumineux, Kalisign a lancé, début 2018, le « Sign’Control ». Ce module de programmation, utilisé via une application mobile, permet de gérer l’intensité lumineuse de l’enseigne depuis son smartphone. Une façon d’assurer au client sa mise en conformité face à la réglementation 2018. Yaki propose un outil similaire : le « DimaLed D-Light » est un boîtier qui permet de gérer l’intensité de l’installation intérieure ou extérieure en fonction de la luminosité ambiante, mais représente surtout l’intérêt économique de ménager son équipement pour une longévité optimale.

Le recyclage des matériaux

Dans le même esprit de consommation raisonnée, Duo Display se préoccupe du cycle de vie de ses produits. « Depuis 2005, tout est fait pour que l’on puisse trier l’aluminium et autres pièces recyclables. L’entreprise n’utilise ni colle, ni sertissage et évite le plastique, atteste Nicolas Crestin. Nous travaillons aussi sur la filière du recyclage des visuels. Nous recherchons constamment de nouvelles matières recyclables et étudions la manière de les collecter ensuite ». Récylum fait partie des solutions proposées aux fabricants d’enseignes. Cet organisme à but non lucratif coordonne et développe la collecte, la dépollution et le recyclage des lampes et des équipements électriques professionnels sur tout le territoire national. L’éco-organisme poursuit ainsi, depuis 2005, sa mission d’accompagnement des professionnels au développement d’une économie circulaire efficiente.

Les innovations écoresponsables

Aujourd’hui, nombreuses sont les entreprises qui se préoccupent ainsi du cycle de vie de leurs produits. « Les nouvelles technologies ont pris une place prépondérante sur le marché de la communication lumineuse. Toutefois, Semios place l’environnement au cœur de ses préoccupations, confirme Amélie Guerbadot. Notre “Sign’Lab”, cellule d’innovation collaborative interne, travaille sur les matériaux de demain : recyclables, solaires, économes en énergie. Le marché accueille avec intérêt l’arrivée de ces nouveaux produits éco-conçus, qui répondent aux enjeux stratégiques de nombreuses entreprises. Les produits qui permettent le développement de l’écoconception sont rares et nécessitent beaucoup de R&D, mais la demande est réelle et prend tout son sens dans la conjoncture environnementale actuelle ».

À ce titre, Semios vient de lancer la commercialisation d’une nouvelle structure d’enseigne à partir d’un matériau inédit, 100 % recyclable, conçu à base de cosse de riz, utilisable en intérieur comme en extérieur. « La législation en matière de communication lumineuse est contraignante, mais le propre de l’évolution de nos métiers est de nous y adapter : on peut être visible, tout en respectant la législation. Sensibiliser et être force de conseil pour prendre en compte la pollution visuelle dans la conception de tout projet fait partie intégrante de nos missions », poursuit Amélie Guerbadot.

3/ LES TECHNOLOGIES DE RUPTURE 

La lumière organique

À 29 ans, Sandra Rey est la fondatrice de Glowee. Cette start-up de biotechnologie environnementale développe une solution lumineuse basée sur la bioluminescence, cette capacité à produire et émettre de la lumière observée chez certains organismes vivants, tels les vers luisants, lucioles et plus de 80 % des organismes marins. C’est en découvrant ce phénomène que la parisienne se lance, en 2014, dans le développement d’une matière première bioluminescente composée de micro-organismes naturels et cultivables à l’infini. En régulant, sans modification génétique, la croissance et le renouvellement de ces bactéries bioluminescentes, Glowee crée un système lumineux tel un aquarium. Ces bactéries non pathogènes sont inoffensives pour l’homme et l’environnement. Glowee est aujourd’hui la seule entreprise sur le marché à proposer ce type de lumière biologique. « Notre chaîne de production raisonnée présente un réel avantage écologique, car il respecte un cycle de vie vertueux. En effet, cette matière biosourcée, produite à partir de cellules vivantes, naturelles et illimitées, est biodégradable en fin de vie ».

La start-up, convaincue que cette technologie de rupture peut apporter de nouvelles perspectives aux modes de production et de consommation actuels, vient d’ailleurs de remporter un marché public avec la ville de Rambouillet, qui va prochainement expérimenter les premiers mobiliers urbains bioluminescents. Les propriétés apaisantes de cette lumière naturelle ont également permis à Sandra Rey d’imaginer la « Glowzen Room ». Cette expérience de relaxation utilisant la bioluminescence sera bientôt proposée par une chaîne d’hôtels et spas. Avec sa lumière douce, non agressive et à faible empreinte énergétique, Glowee s’impose désormais comme une alternative convaincante. La start-up, qui vient d’achever une levée de fond de 600 000 euros, travaille déjà sur de nouvelles applications, comme la signalétique, l’affichage et la valorisation des parcs, jardins et monuments historiques.

« Notre chaîne de production raisonnée présente un réel avantage écologique, car il respecte un cycle de vie vertueux. En effet, cette matière biosourcée, produite à partir de cellules vivantes, naturelles et illimitées, est biodégradable en fin de vie », Sandra Rey, fondatrice de Glowee

Le film électroluminescent

Baptiste Bosser, cofondateur de Was Light, société lyonnaise spécialisée dans la fabrication de film électroluminescent, propose depuis 2014 une solution innovante de signalétique et de communication sous forme d’adhésifs lumineux. Un produit 100 % français, fabriqué à Lyon. Une révolution sur le marché de la communication visuelle. « Nous fabriquons du film électroluminescent ou plus simplement de l’adhésif lumineux. Notre technologie repose sur le principe de photoluminescence. À partir d’une base de phosphore stimulée par une impulsion électrique de 12 volts, nous maîtrisons l’intensité et la durée de restitution lumineuse. Nous avons aussi développé un film rétro-réfléchissant lumineux qui permet de décupler la visibilité pour certaines applications sécuritaires », explique le dirigeant.

Avec moins d’un millimètre, le point fort du produit est son épaisseur. Fin, léger, flexible et trois fois moins énergivore que la LED, cette source froide permet une application sur toutes surfaces statiques ou mobiles et de définir des zones d’éclairage sur-mesure, sans limite de taille. Cette lumière uniforme et sans halo n’éblouit pas et contribue donc à réduire le phénomène de pollution visuelle. De plus, cette technologie reste la seule capable de transpercer le brouillard et la fumée. Néanmoins, cette solution n’est pas magique et nécessite une petite source d’alimentation. Sa durée de vie se limite ainsi à 20 000 heures, contre 70 000 heures pour la LED. Et en journée, les produits Was Light ne s’éclairent pas. Enfin, si l’on peut diminuer son intensité, cette technologie n’autorise pas de jeux de puissance.

« Nous sommes désormais passés à la phase industrielle, qui nous permet aujourd’hui de faire de la grande et moyenne série, précise Baptiste Bosser. Et nous n’avons aucune limite quant aux applications. Nous pouvons décliner notre technologie pour l’automobile, les enseignes, la vitrophanie, les bâches lumineuses, l’affichage et même les équipements de protection individuelle. Enfin, notre technologie répond au nouveau décret sur la pollution lumineuse, ainsi qu’à toutes les normes et décrets en vigueur en France. On n’éclaire pas, on signalise, nuance ! ».

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Les Echos Entrepreneurs mettent en avant, le 9 février 2018, notre technologie lumineuse WAS LIGHT avec un article détaillé sur notre procédé de l'électroluminescence. Il se penche aussi sur l'innovation appliquée aux vestes luminescentes de sécurité.

Extrait :

A partir de la technologie de l'électroluminescence, la start-up lyonnaise WAS LIGHT a imaginé un adhésif lumineux qui peut servir de support publicitaire ou de signalétique, y compris sur des vêtements de sécurité. Secret défense de l'armée américaine il y a soixante-cinq ans pour marquer les pistes d'atterrissage des porte-avions, l'électroluminescence est devenue un support de signalétique et de communication grâce à la start-up lyonnaise WAS LIGHT

Séduits par la technologie sur le Salon automobile de Las Vegas, en 2012, ses deux fondateurs associés, Rudy Assal et Baptiste Bosser, professionnels du marketing, ont acheté le brevet et développé de nouvelles applications.

Ils ont ainsi imaginé un adhésif lumineux, baptisé aussi « Was Light », qui se colle sur une paroi ou une vitre. D'une épaisseur de 0,8 mm, il se compose d'une feuille de phosphore, d'un film conducteur et d'un adhésif polymère imprimé du motif ou texte voulu, le tout encapsulé comme les cartes d'identité.

De jour, c'est un adhésif classique. De nuit, les surfaces désirées, quelques lettres ou le dessin entier, sont phosphorescentes. Cette lumière permet « d'être vu, mais pas d'éclairer », précise Rudy Assal, président de Was Light. « C'est une alternative aux néons et aux LED pour l'éclairage publicitaire. »

De plus, avec une alimentation de 12 volts et une durée de vie de vingt mille heures, l'électroluminescence est « trois fois moins énergivore que les LED ».

Sur les vêtements de sécurité

Par exemple, la société a habillé un tramway pour la Fête des Lumières, à Lyon, début décembre. L'entreprise prospecte l'univers des enseignes et des vitrines de magasins, mais aussi des véhicules pour les couvrir de messages publicitaires ou de logos, comme le bus de l'Olympique lyonnais.

S'adaptant sur le tissu, cet adhésif lumineux a également des débouchés dans les vêtements de sécurité : Was Light a conçu des prototypes de gilets pare-balles, pour la gendarmerie, et de vestes pour le personnel sur voie de la SNCF ou les pompiers, l'électroluminescence perçant le brouillard et la fumée. Le prix : de 0,50 à 1 euro le centimètre carré, hors pose.

- Par Lea Delpont

Pour en savoir plus, cliquez ici.

Les Echos Entrepreneurs, le titre des Echos, spécialisé dans l'actualité de l'entreprenariat et dans l'information aux entrepreneurs.

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Découvrez l'article de Tout Lyon Affiches, sur le développement de notre entreprise autour de notre technologie électroluminescente de rupture dans le monde de la signalétique lumineuse

Avec un sujet axé sur la création du premier tramway électroluminescent au monde, Le Rhônexpress.

Extrait :

Issue d'un procédé de fabrication exclusif, l'électroluminescence donne vie à des adhésifs. La start-up lyonnaise WAS LIGHT, qui fabrique, produit et distribue ces supports visuels en France et en Europe, est leader sur son marché. Elle offre une visibilité inédite à une clientèle très hétérogène.

Lire la suite de l'article sur le lien suivant et ci-dessous :

Rhônexpress et Onlylyon/ Un premier tramway électroluminescent

La nouvelle campagne de communication d'Onlylyon s'affiche sur une rame du tramway Rhônexpress avec la technologie audacieuse et innovante Was Light.

Alors qu'en ce début décembre la ville s'enflamme de ses milliers de lumières, Onlylyon célèbre, cette année, son dixième anniversaire. Un événement de bon augure pour l'organisme promotionnel qui lance sa troisième grande campagne à l'international avec l'apophtegme : « You only live once… Choose not to compromise ». La marque a fait le choix de mettre en lumière cet adage, qui fait de Lyon le compromis idéal de lui donner vie jour et nuit et de le faire voyager. Son partenaire privilégié, Rhônexpress a alors habillé de lumière une de ses rames par le biais de la technologie luminescente de la start-up lyonnaise, Was Light. Une première mondiale pour la petite entreprise, créée par Baptiste Bosser et Rudy Assal en 2014, qui fabrique, produit et distribue des adhésifs dotés d'un système lumineux qui se met en route à la tombée de la nuit.

« L'électroluminescence permet de mettre en valeur des messages, des logos, des signatures par le biais d'une lumière uniforme, douce et élégante, qui traverse le brouillard et la nuit, sans éblouir. Sa consommation est trois fois moins importante que celle générée par les LED et elle a une durée de vie de 20 000 heures » explique Baptiste Bosser, dont la société a déjà multiplié par trois sa production et son effectif. Car les champs d'application de ces adhésifs de moins d'un millimètre d'épaisseur sont infinis. Après les gilets pare-balles de la gendarmerie, les panneaux de chantier, les devantures de magasins, les grandes entreprises, les bateaux, les bus de l'OL, de l'ASSE, du PSG et du président de République, Was Light a fait un premier pas avec le tramway lyonnais avant d'exporter le concept dans d'autres pays.

Inaugurée le 6 décembre, la rame circulera jusqu'à fin janvier entre la Part-Dieu et l'aéroport Saint-Exupéry. Après des heures de vol, elle réveillera les voyageurs en douceur et leur souhaitera la bienvenue à Lyon par un message lumineux dépourvu de toute agressivité et de pollution visuelle.

Jean-Christophe Barla, le mercredi 13 décembre 2017

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Retrouvez la Succès Story de nos dirigeants sur la troisième voie de la signalétique lumineuse grâce à notre technologie innovante électroluminescente WAS LIGHT. Un article signé Le Progrès pour mettre en avant notre entreprise lyonnaise qui se penche, évidemment, sur le covering luminescent du bus de l'Olympique Lyonnais.

Extrait

Baptiste Bosser et Rudy Assal illuminent des visuels avec une alimentation de faible consommation grâce à un procédé innovant : l’électroluminescence. L’unité de production située dans la capitale des Gaules a déjà triplé sa surface… Et ce n’est qu’un début. Après des études d’attaché commercial dans sa Bretagne natale, Baptiste Bosser devient directeur marketing international dans le secteur automobile. En 2012, il découvre la technologie de l’électroluminescence, qui a remporté un grand prix de l’innovation aux USA. Il contacte alors le communiquant Rilliard (habitant de Rillieux-la-Pape) Rudy Assal, avec lequel il travaille depuis plusieurs années. Ensemble, ils décident de partir découvrir tout ça sur place.

Pour aller plus loin, lire l'article ici.

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Retrouvez l'article de Bref Eco | L'actualité économique en Auvergne-Rhône-Alpes, sur la première levée de fond de notre entreprise WAS LIGHT. En 2014, lors de notre création, il en fallait des idées pour se lancer dans cette superbe aventure de l'électroluminescence. Notamment avec le développement de marchés innovants comme celui des gilets pare-balles électroluminescents pour la police municipale.

Extrait :

Créée en avril 2014, la société lyonnaise WAS LIGHT s’est positionnée sur la technologie électroluminescente. Elle cherche aujourd'hui à lever entre 1 et 1,5 million d'euros. Ses fondateurs, Rudy Assal (qui dirige par ailleurs l’agence de communication COMTOO), et son associé, Baptise Bosser, ont fait l’acquisition de ce procédé, breveté, auprès d’un ingénieur américain dès novembre 2012. Il permet notamment d’illuminer et animer des bandes adhésives, aussi bien à des fins commerciales et marketing que pour la sécurité et la visibilité.

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