La limite n’existe donc pas, comme laisse à le penser le… film électroluminescent que projette aujourd’hui le trio décisionnaire, bâti autour Baptiste Bosser, Rudy Assal et Jean-François Saugier, et ravi d’avoir découvert l’Amérique, il y a maintenant 7 ans, lorsque ce nouveau monde et cette technologie se sont offerts à eux.
« En avril 2014, on s’est lancé dans une aventure un peu folle. On a découvert un prototype qui a changé nos vies », raconte son dirigeant Baptiste Bosser. Le brevet acheté, le coup de foudre fut instantané, comme la lumière « douce et uniforme » produite par cette technologie d’un genre nouveau, matérialisée par un film électroluminescent d’à peine un millimètre d’épaisseur. « C’est simple, ce film contient du phosphore sur lequel on va porter une impulsion électrique. On va exciter le phosphore et maîtriser son intensité et sa durée », décrit le cofondateur, dans une formulation presque savante.
La production elle, se veut pourtant plus simple, puisque accomplie à l’ombre de la Maison de la Danse, dans un spacieux complexe de 1000 m2. Des dimensions imposantes, symptomatiques d’une jeune société créée ex-nihilo, où chaque anniversaire est célébré au gré des trophées et des chiffres affriolants d’une « croissance exponentielle ». Et puisque la meilleure façon d’avancer est d’imaginer l’avenir, WAS LIGHTne cesse de se renouveler. Les idées fusent, et les dirigeants ne cessent d’avancer.
« J’adore l’innovation. Je ne m’arrête jamais. Je suis toujours prêt à inventer de nouvelles choses », relate Baptiste Bosser, souvent soutenu par le génie de ses associés. Il en va ainsi, WAS LIGHT n’en finit plus de gagner des marchés, éclairant tour à tour les bus de l’Olympique Lyonnais et du PSG, les devantures des grandes enseignes (Louis Vuitton, Dior ou Chanel, ndlr) et les véhicules d’intervention.
WAS LIGHT, UNE LUMINOSITÉ SANS PRÉCÉDENT
« On a une luminosité qui plaît beaucoup », se félicite l’équipe alors que 2021 se plie aux règles de cette frénésie créative.
Après avoir plié devant la tentation du textile lumineux (pour les vêtements de sécurité, ndlr), le leader du marché planche sur l’opportunité d’équiper de nouveaux bus, avant d’introduire des feuilles de pierres illuminées et des passages piétons lumineux.
« On travaille dessus depuis deux ans. Ça va avoir un impact énorme », promet Baptiste Bosser, alors que la structure aux 700 000€ de CA, enregistre déjà près de 200 à 300 projets chaque année. Jamais rassasiée, WAS LIGHT vit désormais au gré de ses ambitions nationales, avant de viser à terme, un déploiement plus international. Hélas freinée par le coronavirus, l’entité sait patienter.
Et se renouveler, à l’image de la création Clean Zone Protect, une entité parallèle dédiée à la protection des zones de contacts permanents. Résultat, un chiffre d’affaires d’un million d’euros engrangé en moins de six mois. De quoi donner raison à ces quelques mots d’Aristote :
« c’est pendant nos moments les plus sombres que nous devons nous concentrer pour voir la lumière » !
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